L’invisible douleur aux senteurs d’amertumes… J’entends toutes ces voix dont les mots se chahutent Et déchirent mon corps d’un coup qui répercute, Donnant l’envie d’haïr d’un crachat que j’assume.
L’irréductible vie d’une âme déchirée, Etendue au néant, sur un fil pittoresque, Je hurle mon chagrin en cri cauchemardesque, A la vue de mes mains au couleur déchiffrée.
Les yeux exorbitants, cherchant dans le passé, C’est le démon en moi qui m’a encore forcé A prendre l’accusé pour vider un passant !
L’incontrôlable mal aux forces invisibles, Me récite les quatrains des versets renversants, Jusqu’à ce que mon cœur devienne indestructible.