Les nuits fredonnent à l'unissons Des souvenirs des plus profond. Mon regard se pose sur le ciel Et je vois des milliers de stèles. Mon coeur tangue et chavire au loin Dans la pénombre de tes mains. L'antre de mon âme est fermé, Je suis dénouée de sens et Mes pensées amères se renversent Dans un monde que je traverse.
Ma flamme est éteinte depuis Trop longtemps au fond, dans un puit. Mes amours, mes craintes, mes doutes Me transpercent à mort et me coûtent. Ma vie n'est pas celle qu'on croit, Je recherche toujours mes pas. Mon corps se tord dans cette ampleur De joies, de détresse et de pleurs, Peut être rejoindrais-je mon autre, Dans cette sphère d'étoiles entre autre.