A toi qui est mon ange, Toi qui me fait vivre, O quelle est cette étrange Ivresse qui délire ?
La présence d’un cœur, Eternelle belle âme. Toi, la douleur amère, Envenimeuse flamme, Réveillez mes chimères ! Ne m’abandonnez pas. Emprise d’un farouche, L’unique et seul émoi, L’âme qui seule te touche, Et qui t’aime, crois-moi.