Tout ce que tu ressens lorsque la nuit approche De son pas nonchalant au rythme de l’horloge, Te blottir contre un corps qui réchauffe et te loge Désireux de toujours à ce que tu t’accroches.
Que tu aimerais tant qu’un cœur batte pour toi Et se montre en plein jour pour une heure éternelle, Sonnant de son tambour une rime charnelle, D’un désir protecteur que seule tu perçois.
Que tu as souvent peur de te perdre parfois Dans l’ampleur d’un néant qui ne laisse aucun choix, T’apportant tristement le plus long des silences.
Laisse-moi effacer d’une seule caresse Tous ces mots déchirés et cachés de tes sens, Afin de libérer ta plus belle tendresse.