Assise sur un banc Sous cet arbre géant, Enfin je me détends Dans un parc verdoyant, Immense et relaxant. J’observe gentiment Un sacré chenapan Qui, près d’un toboggan S’installa droit devant,
M’admirant tendrement D’un œil obéissant.
C’est un sourire franc Dans un amour naissant. Cet émoi que j’entends : L’air heureux et pourtant, D’un charme vieillissant. Ce regard innocent Qui grave sur un plan, Les traits d’une maman Au regret accablant.
Souffrance d’un dément : L’abandon déchirant.
Dans un doux rêve blanc Que je conte en chantant, Un refrain que j’apprends Même s’il est troublant, D’un appel épuisant. Cet espoir reste absent ! Ces souvenirs d’antan Au passé vétéran Font de moi un néant.