Comme le monde est fou lorsque tout semble encore Échapper de nos mains et chuter au plus bas, Cette attente éternelle de ton cœur délicat Dans un rythme perdu en cadence et plus fort.
J’aimerai tant sentir le parfum de ton être, La chaleur de ta peau, de tes yeux qui dévoilent… L’amour que tu éprouves d’un sourire impériale, M’apprenant à aimer sans le craindre et l’admettre.
L’envie de tout, de rien, d’apprivoiser tes sens, De goûter l’univers de tes mots d’assurance, De vouloir ne faire qu’un pour une nuit, pour une vie.
Je recherche ton corps et je m’y réfugie C’est ainsi près de toi que j’apprends sans retour Ces valeurs exprimées fredonnant « Pour toujours… »