Du charme à l’élégance elle en fut la déesse. Un doux visage qui fit mes joies et mes tristesses. Elle fut mon soleil à son apogée. Si rayonnante et brillante que l’astre roi, Ne tolérant d’autre présence que soi. Au point que mon cœur fut submergé, Par un océan d’amour, et un marin en détresse. A la merci d’une bouée de ma maitresse, D’un sourire, d’un baiser ou d’une caresse, D’une pucelle pleine de douceur et de finesse. Mais le sort décida autrement D’un rêve je ne connus que les désagréments Une merveilleuse romance sans devenir Où le demain ne sera fait que de souvenirs De ma peine seule ma solitude en fut le témoin La vague du temps emporta le blessé au loin