Oui dis ! Et sur le champ, je te gracie. Le sais-tu, le pouvoir ; Sacré il n’est pour moi ?
Mais quand même le garder, je le veux. Ton charisme l’avoir, Je ne le peux Mais mon magnum pointé sur la tempe, Tu l’as et tu l’auras, et cela pour longtemps sans crampe
Apprivoisée, je l’ai, La grande muette, avec excès Le PAYS sous mon joug Il est, et le seul pion tu es, me donnant des poux.
Alors décides-toi, Vite, dis non ! Par serment à ce peuple qui par moment con pour moi T’aime et ne sans cesse clame de ta liberté et ton nom Non sans gong
La PATRIE Comme je le veux la négocie. Pourquoi tant dans la peau L’as-tu ? Pourquoi la caresses-tu Autant au point de blâmer Ta juste félicité
Je honnêtement t’apprécie Mai, hélas pas, je ne te vie Regarde tous ces liasses Bâtisses et ces pétasses Que tu peux t’offrir Sans souci ni phobie du pire
Par ce geste que tu oseras poser Par ton bon vouloir Sans ton méninge avoir Pesé Vraiment, tu me déçois Avec ta stupidité de foi !