À la fin des fêtes, tapi en un coin, Vous reconnaissez, là, le décadent Un vieil ami assoupis qui rejoint, Ses yeux ouverts, un sommeil arasant.
Son regard est vide, il grogne des mots, Au près de lui, miroite des liqueurs, Bouteilles renversées, sans trace d'eau, Esprit plein d'alcool, il revit ses peurs.
Il aborde d'horribles cernes noires, Deux vagues obscures sous son front brisé, Qui coulent, désespérées, vers le savoir D'une perte des sens totale, masqué.
Boire la sève vitale à l'excès, Pour s'évader en son mal être croissant... Pitié pour cet être décadent, Insufflons lui l'amour pour raisonner.