Le poison de nos vies, la jalousie présente La marchandise du mal, qui est humanitaire La concurrence au centre, domination pressante Le noir dans tous les cœurs, le bonheur qu’on enterre
Un long silence glacial, la crainte se fait sentir Les problèmes pas très loin, les tensions se déchainent L’humain est imbuvable, comme l’urine que l’on tire Arrive dans les égouts, gros dégoûts dans nos veines !
Les cris de désespoirs, les murmures de détresses Des messes basses inaudibles, messages subliminaux Paroles de mauvais goûts, mortel est l’allégresse Le trou profond du vice, noir comme un cigarillo
La guerre est grande ouverte, trop de victimes touchés Trop de cœurs sont broyés, le silence se fait d’or Des propos insultants, nos esprits mitraillés Le pire dans cette histoire : on en demande encore !
Le monde serait plus beau, si la puissance du mal Eclatait en sanglots et qu’elle s’excuse de tout Que cette fumer putride, montre très haut en spirale Et l’atmosphère humaine, reprennes tout son bon goût
Tous ces Hommes se sont plaints, des guerres, du terrorisme Et ils savaient très bien, qu’on n’irait bien nulle part La leçon n’est pas sue, c’est du trop grand sadisme Ils en ont pris conscience, mais celà bien trop tard !