Tout ce givre, comme un lointain plein d’adieu Ô les promesses et cette heure si tardive, Ô les promesses quand tout va et dérive, Tout ce givre, et je vais et je pleure.
Tout n’est plus qu’ombre fragile Et la mort me tâte déjà, Tout n’est plus que trouble infini.
Ô les beaux jours où je ne puis guérir Loin de tes lèvres mortes, Ô le parfum de ta peau Et ce tombeau ou je vis encore