La lueur de l’aube, en dispersant la brume Laisse se dévoiler, milles et une couleur En multiples orbes, qui doucement s’allume Illuminant ce prés, de ton être enchanteur
Car lorsque je t’attends, te pense et t’imagine Ce qui se dessine, ce sont fleurs des champs Sur cette colline c’est ton charme vraiment Qui exulte gaiment ton aura florentine
Tu es à l’image du bouquet végétale Vif éclat dans ce val dont on ne peut manquer Ton parfum dégage la douce odeur boisée Qui explose au final en volée de pétale
Tes yeux aubépine, qui m’envoute en tout temps Toujours illuminent, ton regard florissant Ces jolies lanternes dont l’amour se propage Il serait bien ternes de les garder en cage
Ces cheveux rougeoyant me rappellent ces champs Coquelicots au vent, en ces jours de printemps Ces épis mordorés descendant de ces pentes Ces courbes vallonnées dont tu as si charmante
Belle Floriane toi qui me fleuri l’âme Comme le lierre qui au loin vagabonde Curieuse et fière tu parcours le monde Fleur que rien ne fane, Oh Toi florale femme