Douce chaleur d’été, s’abat sans sommation, Et l’hiver entêté fuis l’effervescence De ses bons successeurs, tous porteurs d’adorations. Lui, lâché, délaissé ; eux vivent avec aisances.
Or, la saison blâmée, offre bien des aubaines : La neige immaculé d’une arrivée soudaine Parsème l’horizon, sème ce pâle blanc Sur toute la contrée, fascine les enfants.
Guêpes puis abeilles, que la fournaise attire Dilettante du mal, dardent les bons martyrs. Éclipsées par le froid, elles ne blessent plus.
Envers le bon hiver, nombreux blasphèmes indus, - Balayés par le vent suivit de nos éloges - Sont désormais lointain, sans doute s’interrogent.