Nouvelle nuit d’agression Quatrième d’affilée Où nos maisons en couloirs Pour ces monstres volant Forment un long défilé Où dans un vacarme tonitruant Ils reçoivent ordre de s’engouffrer
Pourtant ce joli paysage De verdure et de jardins de loisir Etait il n’y a pas si longtemps Par des kyrielles d’oiseaux chantant De notre doux voisinage Privilégié comme lieu de passage De repos et de calme hivernage
Nouvelle nuit d’enfermement A tenter de se protéger En vain du défilé incessant De ces rapaces d’argent Dans notre sommeil s’introduisant Pour dans leurs griffes nous enserrer Et totalement nous étouffer