Moi, adolescent je ne pensais qu'à rêver Pour m'isoler de cet univers sans pitié Créant ainsi au fond de mon cœur un espoir Me permettant d'échapper à cet exutoire.
Il faut ouvrir les yeux, pour les fermer enfin Et quitter ce monde pour un meilleur destin
Le sommeil arrive, c'est la fin des souffrances… Puis le rêve, c'est le début de la liberté… Pour enfin retrouver l'esprit de notre enfance Avec ses idéaux et sa naïveté.
Mais la vie me rattrape, et le jour me condamne A cette permanente errance de mon âme.