Quand je t'ai connu, Tu avais quatre ans. M'empêcher je n'ai pu, De te toucher la dent.
Chacun de mes grands secrets, Sûrement les plus précieux, A toi,Grizli, je les confiais. Ils étaient gardés pour le mieux.
Quand mon grand-père est parti, Sur ton doux dos je pleurais, Je ne cru pouvoir sûrement que perdre la vie Mais à jamais, mon beau chien, tu me soutenais!
Un jour, la mort tu as connu, Tu avais quinze ans, M'empêcher je n'ai pu De pleurer très longtemps.