Mais, au milieu de tes yeux, J\'ai pu voir mon sort Celui de la mort Ô moi le malheureux!
Déesse de la vie, de la mort, Je te cherche, je te vénère encore. Ton chemin trop douloureux Que déjà je sens sur mon corps Le souffle noir et brulant de ton trésor: Lui seul sait pourquoi bienheureux, Je te couvris de diamants, d\'argent, d\'or Seulement parce que je t\'adore.
Mais, ma force tu l\'as capturé en tes cieux, Ma vie, tu l\'as aspiré en ton corps. Maintenant, tu es devenu mon Mentor, Mon dieu que j\'entretiens avec honneur. Comprends tu mieux ma douleur? Celle d\'un pauvre mortel amoureux D\'une déesse qu\'il ne peut Pour lui-même, pour ses yeux Et qu\'il doit partager, malheureux, Avec d\'autres adeptes heureux De te posséder, de croire Pouvoir t\'aimer à l\'infini. Mais, ne fais-je pas parti de ces accessoires? Toi seul a la Vérité, ma Déesse d\'Opalie.