C'est la fin d'un conte où tout le monde meurt, Et tous rejoignent les catins, les pêchés. Lueurs d'espoirs qui brillent encore à l'heure, Mais ce n'est qu'un train qui vient nous faucher.
Quand les yeux fermé, j'ai tenu sa main Un ange m'a frappé et je suis tombé. Sang chaud s'enlacer de malins câlins, M'enlacent les fées d'un amour étouffé.
Je m'enfuie par la fumée, c'est là que je vais Ciel triste, solitaire et sans aucuns blasphème, Mais l'arrache cœur a servi là où je mendiais, Laissant l'épée de damoclès sur le cœur de celle que j'aim