L'arbre qui tombe, coupé par l'Homme Qui, après cela lui mange une pomme L'autre majestueux et grand Fut rasé en quelques secondes seulement
Moi je le regardais allongé sans Me douter que cela m'arriverait Que du haut de ma longue vie Je mourrais et serais emporté au paradis
Maintenant je regarde mon passé par la porte battante Mon enfance gâtée si insouciante Il y en avait des choses a faire, une infinité ! Et j'attends la mort pour enfin voyager.