Dépouille souffrante, esprit délirant Théories absurdes et rêves de néant Anéantissent l’espoir, créent le vertige Créent la douce morbidité que Mort oblige
Opaques noirceurs et constantes douleurs Riment avec horreurs et baisent avec rigueur Cette amour éloquent démembrés et en sang Qui ronge l’espoir d’être plus qu’aimé D’être plus qu’amant
L’espoir, dépouille souffrante d’un esprit délirant Ma théorie absurde, mon cauchemar S’anéantie elle-même en un néant Laissant place à l’appétissante Mort Terminant ainsi ce cauchemar
Ce paysages d’écorces rouges déchirés Montre en moi cette arbre déraciné Qui en ses branche pendantes montre mon effort D’être plus fort encore, plus fort que la Mort Car Elle n’est rien . Du tout Rien. . Rebondissant sur mes pieds Je creuse mes racines Pour ensuite m’abreuvé De l’absurdité de ses crimes Et de réalisé cette stupidité dans ma douce lucidité Que d’amour et mort Il n’y a peu de différence Que deux lettres et une Apostrophe
Droit d'auteur : Tommy Piette Saint-Jean-sur-richelieu Qc E