Arrêter de songer à la beauté du ciel ? Aux nuages succèdent un bleu étincelant. L’aurore boréale magnifie sans pareil La ville de Tromsø, offrant à tout passant,
Cet écrin délicat confinant à l’extrême Les sentiments exsangues de serments, d’aveux.
S’asseyant sur un bac, le visage un brin blême, Il n’envoie pas de lettre et s’invite sans mot. Se pose sans bruit, son regard amoureux Déverse simplement la neige sur Tromsø.