Le froid balaie le sol meuble, De ses flocons, de ses blizzards. Les habitants, les arbres, l’immeuble, Courbent l’échine d’un air bizarre. Sa voix caresse toit des vivants, Les pousses d’herbes sur les maisons, C’est naturel ce beau gazon, Transmue son être sur l’horizon. Transport d’odeur dans ses tourments, Embrasse le ciel : l’Aurore ardent, Est boréale sur l’océan !