Je ne peux pleurer, n’aurai point de cœur ? Connaissant la peine qui cause mon chagrin. Tout au fond d’un trou repose un bonheur ? L’être que j’aimais, chantant ce refrain.
Fus bousculée face à son cercueil, Parti tellement vite, une onde de choc. On s’attendait à ce satané deuil !
Se sent déconfi, un brin trop vide. Face à ce néant, les maux s’entrechoquent ! Je perd l’envie ? Mon esprit s’évide…