Au sein de l’absence y’a un corps qui va, Une dernière danse aux notes amères. Au cœur du silence crépusculaire, Une musique s’élance dans ce brouhaha.
Violon et saxo donnent le tempo, Habille d’un manteau le ciel indigo, De son moribond et romantique.
Mélodie invite sur quai d’une gare Amour qui habite le fond du regard : Revêt doucement ton âme atypique.