La nuit, telle une chape, enrobait la Lune, Sortant de sa cape : une étoile prune, Dans le Ciel s’échappe l’astre si ardent !
Rejoint sa masure au reflet d’argent. Les oiseaux augurent une nouvelle saison, Leurs chants nous rassurent sur un sentiment, La force, l’usure brise le mobile :
L’apparent Amour trouble la raison, Le souffle si court, presque immobile, Epouse le contour du rêve charmant.