Le vent jamais ne ment vraiment. Contrairement au genre humain, Il glisse véloce entre nos mains. Le vent connait les sentiments. « Silence on tourne », un homme crie. La foule opaque se tait alors. La pluie déferle, torrent de vie. Sur ses visages de porcelaine. Les cieux s’ennuient déchirant l’or, Des crépuscules, d’un bas de laine