Un phare repose sur l’espace immense, Serait-ce un tombeau ? Une crypte enchantée, Entre la Terre et l’Eau, y a une résonance. Ses paupières closes, a l’air apaisé.
Le Vent dans sa langue lui glisse dans le dos, « Je connais ton cœur, il me fait écho, Ressens ton Malheur sur l’océan bleu, Ce sont les badauds qui t’envient un peu »
Sa caresse légère l’enrobe en entier, Il tait ce qu’il sait sans courber l’échine. Ce géant de pierre aux jambes déliées, Vers sentier dansant alors s’achemine.