Une mort douce et heureuse Car, il est possible de gouter à ce repos Sans même que l'âme n'eut été amoureuse Sans même que la lame du long couteau Ne puisse effleuré la puretée de ce qui fut Et l'amertume de ce qui n'est plus. Jamais un corps putréfié n'attireras les mortels, Mais tout hommes comme toi, immortels S'emerveillent de la beautée de mes lèvres, Et de ce gout apres et amère Que mon sang laisse après avoir embrasser Les lambeaux de mon corps décharner. Si tu me dit que je fut ta mie, La mort elle fut mon amie, Adieu Logann, tu me donnas les armes Mais le bourreau de seras que moi, Dans l'harmonie de ce qui fut mon âme.