Quand à l'Est on cris aux oreilles des vautours, Quand à Beni on tue aux yeux du Dieu vivant, Le sang ruisselle à bord de ce trappeur rêvant, Dans le gouffre des âmes la peur se tient autours.
On a criblé nos coeurs par les soucis d'amour, Et le poid sur front au social crêvant, Des génies et les sages tel le ciel et le vent, Les gazons sur les yeux et la tête aux contours.
Quand à l'Est on brame quel coeur l'ausculte, Quand à Beni on saborde qui y converge sans doute, Affligeant et bélieuse évidence personne le seconde.
On a annihilé nos coeurs et nos âmes par les pleurs, Et jour comme nuit on omet jamais de plaire, A nous épauler vous les absoluité du monde.