J’ai mal de me sentir en toi Et d’en constater ton ignorance
Malgré en ta présence De longs échos résonnent Et ma conscience Parfois dégringole
Des larmes étouffées D’attendre un écho à ma tendresse Ô bien sûr, je ne peux te blâmer Seules femmes selon toi sont ainsi maîtresses
Je souhaiterais refléter en ton âme Voir tes yeux briller à constater mon acharnement A lutter contre la pression des gens A espérer vivre des choses surréelles
Mon cœur rugissait comme le lion Aujourd'hui, faible papillon Il débordait de passion Ce n'est plus qu'un typhon
Je rêvais de l’immensité Je rêvais de l’infinité Je rêvais de l’étonnement Et maintenant...
Tu me brises Tu m’enlises Tu embrouilles mes yeux Avec tes déceptions