Il n'y a plus de clarté qui n'ait effleuré mon chevet Ces soirs-là ont vieilli dans mes sommeils Une à deux lignes Ont embrassé mes yeux Une révolution dans mes veines…
Je sirote les soirs cachés dans mes rêves Les ombres dévalent Dans mes pupilles Je te cherche encore Devant une statue… Les soirs ondulent comme un chant d'oiseau Mes espoirs perdus Tombent à cet arrêt-là Et mes sentiments Te traînent dans mon cœur Et… je dis L'arrêt des soirs Ne noircira jamais…