Elle est mon espérance, ma joie et ma gaieté Par sa seule présence le doux espoir renait Elle est la rosée fraiche sur le pétale d’été Douce comme caresse qu’effleure le nouveau-né
Semblable à une flamme vive comme oriflamme Ravivant sur l’instant la beauté du moment Elle est comme l’enfant qui cherche la lumière Qui d’instinct tend la main vers celui qui l’éclaire
Elle est comme l’encens qui parfume et qui charme S’élevant nonobstant les blizzards et les larmes Etendant son regard vers le bleu infini Elle est l’azur certain qui ravive ma vie
Un éclat de cristal parfois se fige en larme Vient profaner l’aura qui toujours me désarme Un trop plein de satin, indicible éphémère Qui vient tel le matin présager la lumière
Elle est la femme enfant que mon cœur a choisi Reconnaissant d’instinct l’éther de l’avant vie Mon double simple et tendre, ma douce dulcinée Au-delà des contraintes me permet d’exister