Légère comme l’aile qui caresse l’azur Elle a une âme claire comme un coin de ciel pur Elle est frêle hirondelle annonçant le printemps Filant à tire d’aile dans mes rêves d’enfant
Son regard pur explique tout ce qu’elle ressent Il est une supplique, une invite, un instant Lorsque je la regarde je sais bien qui je suis Nul doute ne m’égare j’émerge de la nuit
Elle a pour synonyme la beauté de l’Esprit Qui parfois magnanime tendrement me sourit Parfois éblouissante, d’autres fois P’tite Souris Elle est ma réjouissance, le soleil de ma vie
Son sourire enfantin est comme un champs de blé Caressé par la brise d’un matin de Juillet Eclair de poésie tel un vers de Verlaine Qui traduit en silence le sens des mots « Je t’aime »
Elle a reçu en grâce le don de percevoir La beauté, la tendresse et tout ce qui est Art Elle sait de ses mains façonner des merveilles Elle est mon Grand Amour, celle qui m’émerveille