L’aile d’un papillon a effleuré mon âme, Percevant le pendant de l’être cher et rare, Le souffle délicat fut comme un doux sésame Guidant mon frêle esquif comme aurait fait un phare
J’écrirai tout en vers inventerai des rimes Invoquerai Verlaine pour qu’il guide ma plume Afin de rendre hommage a autant de sublime J’en appelle au divin pour émerger des brumes
Vous avez don de grâce et de beauté aussi Mais ce qui prédomine c’est avant tout l’esprit Vous êtes une princesse, voire peut être une fée Mon ultime caresse, je le sens je le sais.
Joyeuse, douce et tendre, semblable a un enfant Fragile et innocente, tout comme un petit faon Je vous offre mon cœur et vous dévoue mon âme Un genou sur le sol, je suis à vous ma Dame
Semblable au doux printemps, a un été fleuri Je me sens si petit lorsque tu me souris Je passe mes journées à écouter ta flamme Plus rien n’a d’importance et je te veux pour femme