Pardonne-moi si le monde tombe à mes pieds, L'enfer s'ouvre, le paradis s'en est allé. Pardonne-moi -non- je n'ai pas sû donner. Le soleil, la brume m'aspire de toute sa fumée.
Je suis l'écran, la facette que tu vois partout en tête, Je suis la bouche, les lèvres et tout ce qui existe peut-être. Tu es la flamme et le glaçon, le paradoxe écrit dans l'entête, Tu es la femme et le garçon, mon étoile et ma planète.
Pardonne-moi simplement parceque je suis, Et pas vraiment l'homme de ta vie, Et pardonne-moi ton abandon -les cris- Parceque j'ai l'impression que je suis.