J’en appelle à la vivacité spirituelle Qu’à mes idées je sois toujours fidèle Quel diable philosophe encore A l’aube du dernier décor ? Et que les dieux lui en soient témoins Je ne serai jamais abstème j’aime trop le vin Même s’il délite au fil du temps mon esprit d’esthète L’anarchiste prend les devants et décrète Pour qu’enfin je laisse éclater la vérité Enfouie depuis trop longtemps au sein de ma trouble destinée L’absolue satisfaction de serments trop bien gardés Aujourd’hui Dionysos s’est volatilisé Et aux portes de l’enfer, Cerbère n’est plus assermenté à no