Soit qu’elle naît seulement de notre amour, Enfantée de ses bras tendus pour toujours, Que son nom grandit sur les doctes mères, De la folâtre joie calmante et ardente prière.
Cette main tendue caressante, il est doux d’être, Dans notre monde avec la vieillesse sans age, Avec ses pauvres et généreux cœurs si sages, Fixant le passé pour le présent et se le permettre.
Ou la tendresse repose sur une bouche fleurit, Former en un calice ou butinent toutes en cœur, Ses abeilles se régalant du miel de ses fleurs, D’un bouquet de roses éclatants de souvenirs.
O déesse sublime, non repus de ces délices plaisirs, Ton sang pur coule dans nos veines remplit de désirs, De ces jeunes saisons étendant nos étreintes brûlantes, Sur le chemin enlacer de l’envie de caresses calmantes.