Je n’ai plus le courage, ni la force des larmes : Elles ont déjà rempli mon océan intérieur de désespoir. Je n’ai plus que tes silences comme seul vacarme : Ils ont fait éclater mon cœur, meurtri par tant de déboires.
Il y avait l’espoir de ton âme douce et guérisseuse : Je m’y suis tant de fois blotti et réchauffer en son creux. Il y avait l’espoir d’une amante éprise et généreuse : Je me suis vu tant de fois goûter à ta peau de feu.
Pourtant, mon espoir est robuste, inlassable et éternel : Car c’est dans la lumière de tes yeux que je veux me baigner Car c’est à l’ombre de tes longs cils que je veux me reposer
Pourtant, j’espère que ce rêve demeure en toi, à l’état orig Car c’est dans la douceur de ton effluve que je veux m’enivr Car c’est dans l’ivresse de tes baisers que je veux exister.