Comme a ces petits oiseaux Auxquels ont crèvent les yeux Pour rendre leurs chants merveilleux Et ainsi flatter nos égos
Mais quelles étranges blessures On donc tout ces poètes Pour faire des vers si purs Venant de cette douleur muette
Peut être, est ce un cri Bloqué en eux, tout au fond Par ces outrages de la vie Qu’ils transforment en aveux
Je dit, esclaves de la rime, a chacun sa quête Certains le soir a la lueur d’une bougie D’autre c’est une suprême alchimie Moi, comme un camé, j’écris en cachette !