Son corps d'ondine S'offre voluptueusement Aux caresses de son amant, Sa peau frissonne Sous la brûlure délicieuse Des lèvres gourmandes. En gestes doux et tendres Il descend lentement Vers son ventre brûlant, Ressent les frissons De sa belle amante Frémissante du désir Qui déferle en son corps. Ses gémissements lascifs Attisent son envie d'elle, Il sent dans ses cheveux La main délicate qui se crispe... Alors, fou d'amour, Ses lèvres assoiffées Viennent se désaltérer Au jardin des délices, S'enivrant du nectar divin, Naufrageant sa douce compagne Sur les rivages du plaisir !
(inspiré par une sculpture merveilleuse de Boisart…)