Fustigée d’éclat, Éprise mortelle. L’enfant jouant au-dehors, le coeur dans le chalut a déporté Bientôt viendra le moment d’abandonner l’enfance et de tente
Elle devra scinder les passerelles pour rattraper les emprei
Elle sait ou l'aurore est déloyale, Elle sait que tout est impitoyable Comme le silence ou l’océan glisse Comme un frôlement ou un cri.
Alors elle périra, La carence de son air, Chacun son mal Qu’on garde bien au chaud.
Elle sait que l’aurore est traîtresse, Sa destinée, comme cette vague qui ne déploie ses abris
Le silence meure dans cet océan dévastateur. Et ça elle le sait.
Le cortège est éteint, elle ne la pas suivit, Elle n’implore, Les dents serré Puis envoie ses écrits Pour voir l’océan prié.