Il y a des hauts, mais il y a surtout des bas, Parfois même des bas qui filent ; Comme des mots perdus, au creux de grands débats, Et les longues années défilent !
Des bas troués, D'ébats perdus En vies flouées, Interrompues...
Alors, parfois, rien n'est facile Surtout quand le maudit bât blesse ! Tout nous paraît alors fragile Et soudain, soudain, le temps presse !
Quand nos tristes larmes à rides Coulent et se givrent d'un hiver ; Souffrance au corps des cieux livides Souffrance encore aux yeux ouverts !
Débats perdus Des bas qui filent, Le temps qui croit qu'il s'est perdu Et les heures sans toi qui défilent !