Est-il un paradis pour les marins perdus ? Goéland je serai pour voler la lumière ; Des vagues de caresses et de douces chimères, Le goût du sel et l'eau pour unique vertu...
Mes yeux sont océans, mes cieux sont infinis, L’horizon s'évanouit, la Terre et l'Arc-en-ciel S’épousent, se confondent, s'entrelacent, s'emmêlent Et mon corps infidèle est soudain si petit...
Je regarde le vide et je déploie mes ailes... À tout jamais gravés dans mes instants secrets, La carte des étoiles et le vent des regrets ; ELLAN VANNIN, un jour, tu me seras trop belle !
Est-il un paradis pour les amours lointaines, Une promesse, un rêve, un asile en ma tête Où les heures se révoltent et le destin s'arrête ? Ces mots sont les miroirs où je veux que tu viennes !