O par toi m’est venu le gout du salé de tes mots Le vent qui déchire la toile de la voile Couleur d’océan limpide azurée Au sable chaud de la tendresse oubliée Les alizés ont soufflé le cadran de la montre Du bonheur confondu habillé de dentelles Je me languis de ces moments face à la toile Maigre consolation d’une palette colorée L’oiseau pliage aux écrits prend le large Tandis que l’inspiration s’ensable À jamais baignée de ta lumière