Comme dit la chanson, « joues pas comme ça Joues pas, pas avec moi, l’amour tu sais ça n’plaisante pas Même si cela te permet de faire taire tes peurs Ne joue pas, pas avec mon cœur
Quand je t’ai rencontré je vivais dans le doute J’aurais aimé qu'ensemble nous fassions un bout de route Et puis plus rien, le silence durant deux semaines Le doute qui revient marteler mes veines
Mais soudain je revis, tu me donnes de tes nouvelles Tu pensais que je t’avais oublié, balayé de mes pensées Comme l’hirondelle chasse l’hiver d’un battement d’ailes Tu pensais que la page était tournée
Puis à nouveau ce silence qui brise mon espérance Et le doute qui s’insurge et monte en puissance Quand enfin tu te décides pour un premier rendez-vous Peut-être y aura-t-il tout de même un nous ?
Nous nous retrouvons, parlons tout en nous promenant Je te sens pourtant distante hors de mon rêve Et puis tu dois partir chercher ta fille ce que je comprends Et là tu dépose un baiser furtif sur mes lèvres
Plus tard nous nous retrouvons à la fête de la musique Je te trouve encore et toujours magnifique Tu restes toujours aussi distante pourtant Et à ton départ j’ai droit au même baiser qu’avant
Avant de partir tu me dis que tu vas essayée Dans la mesure du possible, de me rejoindre en boite J’en suis ravi car avec toi j’ai très envie de danser Sentir à nouveau ton corps collé à moi
Peut-être consentiras-tu enfin à vraiment m’embrasser Mais très vite il me faut à nouveau déchanter Tu restes distante, j’ai l’impression de déranger Et lorsque tu t’en vas, tu m’as déjà oublié
Au matin tu réponds à quelques messages Et soudain plus rien de toute la journée J’ai beau t’envoyer deux messages C’est au froid que je me fais doucher
Et puis ce soir j’ai de nouveau droit à un coucou Histoire de dire deux à trois banalités Puis comme toujours ce silence qui rend fou Avec ses questions qui ne cessent de se bousculer
J’aimerai savoir ce que tu ressens réellement As-tu réellement quelques sentiments Ou ne suis-je qu’un jouet avec lequel tu t’amuses Dis-le-moi car faire le yoyo m’use