J’ai cru aux promesses faites J’ai cru à ces histoires mises en tête Sans me douter un seul instant Que tout cela n’était que boniments
J’aurais dû savoir depuis longtemps Que dès que tu parles, tu mens Qu’on ne peut se fier A ce doux regard enjoué
Tu t’es jouée de moi, de mes sentiments. Aussi maintenant il est grand temps Que je te rende la monnaie de ta pièce Que je te fasse payer ma tristesse
J’entend ta voix me dire Tes mots me supplier De rester là, de ne pas partir, De t’accorder un essai, un dernier
Mais ma tête est malade Alors, tu sais à qui parler Dis-toi que tes salades Désormais tu peux te les garder
J’en ai fini de ces soirées, passés à pleurer Maintenant j’ai bien l’intention de m’éclater Et dis-toi que tu ne seras plus à mes côtés Pour me les pourrir comme tu le faisais
Je vais pouvoir embrasser tous ces sourires Sans avoir à penser A comment ma soirée va finir Ni à ce que tu pourrais inventer