Assis au bord de Neptune Un extra-terrestre à plume Scrutait l’univers infini A la recherche d’un ami
Aussi loin que son regard le portait De Pluton à Jupiter Et même bien au-delà de la Terre Pas une ombre qui se dessinait
Notre extra-terrestre était bien malheureux Se sentant si seul au milieu des cieux Qu’il se mit à pleurer des pluies d’étoiles Qui couvrirent le ciel d’un voile
Voyant le résultat de ses pleurs Le sourire lui revint au cœur Je n’ai pas d’amis se dit-il Tant pis, j’ai pour moi l’univers infini