"Fuis les ruines et ne pleure pas parmi" Marcel Schwob
Ô la sainte heure la plus fausse, Ce cri dans le ciel qui s'enfle au supplice ; Et je ne suis plus l'âme qu'on fusille, Ni le mensonge humide et son apôtre.
Ce que la nuit cache
De
Si heureux jours
Ou tel amour hurlant sous la porte de tel amant, Lors se chantera plus haut encor cette heure, Sur le printemps acide ce peu de temps durant, Et qu'on aura (et les jours et les nuits) ces mêmes pleurs.