B ien que tu eusses traversé les miroirs E t porté en ton giron de fiers espoirs A ux confins heureux des lunes à venir Tourments lourds d’un devenir R évèlent des choix la cruelle âpreté I nvoque les Dieux par toi rejetés C ar chantent au dessus du ciel gris E nivrés , tes Oiseaux de Paradis !