Jamais, au grand jamais, Il ne s’avouera vaincu. La bataille est perdue Mais la guerre ne fait que commencer... La déclaration fut brève et brutale La femelle a décidé de se jouer du mâle ? La femelle a fait mal, mais le mâle voulait du bien. La femme, elle, le savait bien, mais malgré ça, elle ne fait Elle ne désire pas sauver le mâle perdu, tombé dans le piège Tout un malentendu pour ce mal inattendu Qui donne au mâle un malheur hélas déjà trop familier. Il était jusqu’alors trop à la femme lié. Trop lié à cette femme qui, jouant de malice, A trahi l’homme qui râle en exploitant ses vices. Bien que blessé, meurtri par cette arme charnelle Le mâle est décidé à ne pas battre des ailes. La fille a failli faire fit de sa fierté Mais le garçon agacé s’est fièrement rebiffé. La contre-attaque sera brève et impitoyable Et mettra fin aux méfaits de cette impie blâmable. C’est alors que le mâle pourra, le cœur léger, S’enticher d’une femme aux vertus préservées.